Commission des menus du 17 Janvier 2012

Menus étudiés pour la période du 1er Janvier au 24 Février 2012

Etaient présents :

Mairie : Mme Gastaud (adjointe au maire chargée de l’enseignement), une partie de l’équipe du service enseignement
Directeurs d’école : Maternelle Amaury Duval
Représentants du périscolaire : Elémentaire Queneau, Maternelle Briand
Cuisiniers : Maternelle Berthelot
Parents d’élèves : Gaëlle Hiecque et Serge Billarant pour la FCPE, Jacques Pinson pour la PEEP
Scolarest : l’assistant technique en charge de la relation avec le ville de Montrouge

 

18h, après un rapide tour de table, la séance débute sans surprise par le bilan de la période écoulée.

Les parents font part des remarques reçues sur les repas de la période écoulée :
–     des retours très positifs sur le repas de Noël, personnel des cuisines, directeurs d’écoles et animateurs confirment que le repas était très bon.
–     Retour positif également sur la galette, sauf pour l’école Queneau, point confirmé par le responsable du périscolaire de cette école. L’assistant technique du prestataire demande si la remontée concerne la galette amandes ou bien la galette aux pommes qui a été fournie pour les enfants allergiques, il explique l’avoir goûtée et ne pas l’avoir trouvée fameuse…
–     Retour positif, mentionné également lors de la visite des cantines de la veille, et auquel on ne s’attendait pas forcément, sur le tourteau fromager du repas « fromage » du vendredi 13 janvier.
–     La sauce moutarde a été jugée un peu trop forte (retour de la maternelle Boileau)
–     Les pâtes sont jugées souvent un peu dures et le poisson parfois froid à Berthelot, même si ce dernier point ne convainc pas la cuisinière de cette école…
–     Un problème signalé sur l’école Queneau lors du repas du mardi 10 janvier les derniers arrivés ont eu du pâté à la place des tomates prévues en entrée. Ce point étonne les personnes présentes car tout le monde a le souvenir des tomates… Quelques jours après la commission nous aurons l’explication : les tomates livrées n’étaient pas très belles, il y a eu beaucoup de déchets et 23 portions ont été remplacées par du pâté.
–     Les parents signalent aussi ce qui a été vu lors d’une visite de cantine concernant les barquettes « porc » et « sans porc », l’identification des barquettes n’est pas toujours simple. Il avait été demandé dans le cahier des charges d’avoir des barquettes de couleurs distinctes, ce qui n’est pas possible pour ce fournisseur. Le contenu est indiqué sur le film de la barquette (imprimé lors de la mise en barquette), ce qui n’est pas toujours simple à lire après la cuisson. La cuisinière présente explique qu’elle marque au feutre les barquettes « sans porc » pour être sûre de bien les repérer à la sortie du four.

Un retour également concernant le faible nombre de yaourts proposés (comparativement au fromage), cette remarque fait suite aux repas du jeudi 12 janvier (crêpe au fromage en entrée, fromage en laitage) et du vendredi 13 (« spécial fromage ») qui peuvent effectivement être un peu difficiles pour un enfant n’aimant pas le fromage. Cette remarque tranche avec les commentaires des cuisiniers et animateurs qui expliquent régulièrement que les enfants « en ont marre » des laitages blancs – aucun commentaire de ce genre du côté des parents à ce jour.

Nous relayons également la demande des parents de disposer de menus au format papier qui seraient distribués dans les écoles, comme le proposait le prestataire il y a deux ans. Le prestataire de cette année ne le fournit pas, la mairie précise également que les menus sont sur le site internet de la ville et que les menus sont affichés à l’entrée des écoles. Par ailleurs, faire des photocopies des menus en 3500 exemplaires ne serait pas conforme à l’agenda 21…

Le directeur de l’école maternelle Amaury Duval fait part de ses remarques ainsi que de celles de ses collègues de Berthelot et Haut-Mesnil :
–     la purée est parfois très liquide, mais parfois également très bonne.
–     La viande est parfois trop cuite
–     Le mélange carottes – poireaux n’a pas été apprécié par les enfants
–     Les spaghettis bolognaises manquaient de sauce le lundi 16 janvier, remarque non partagée par les personnes présentes
–     Les barquettes contiennent beaucoup de sauce, ce qui peut causer des brûlures lors du service. Il est demandé s’il est possible de les remplir moins. L’assistant technique indique qu’il a déjà fait la demande mais que c’est difficile à réaliser car une certaine quantité de liquide est nécessaire pour la remise en température du plat.
–     La soupe est très bonne, les écoles aimeraient bien en avoir un peu plus, ce qui n’est pas conforme aux quantités indiquées dans le texte paru en début d’année (Décret n° 2011-1227 du 30 septembre 2011 relatif à la qualité nutritionnelle des repas servis dans le cadre de la restauration scolaire – plus d’infos : http://alimentation.gouv.fr/bien-manger-a-la-cantine)

La cuisinière présente confirme que lorsque les enfants aiment le plat (ce qui est le cas de la soupe), il n’y en a jamais assez, en revanche, quand ils n’aiment pas il y en a toujours trop… le « trop » concerne particulièrement les yaourts blancs et le poisson jugés trop présents. A noter que le poisson n’est pas plus présent à Montrouge que ce qui est indiqué dans les textes (le GEMRCN, texte qui a inspiré le décret du 30 septembre 2011 recommande 6 plats de poisson sur 20 repas, le cahier des charges de la ville est basé sur les recommandations du GEMRCN – plus d’infos :http://agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/GEMRCN072011.pdf).

Elle indique également que souvent les barquettes individuelles pour enfant sont de même taille que celles pour les adultes. L’assistant technique du prestataire indique que lorsqu’il manque des portions individuelles pour enfant dans la cuisine centrale il complète avec des barquettes adultes pour être sûr que les enfants auront suffisamment à manger. Le personnel de la mairie indique qu’il apprécie n’avoir pas de problème sur les quantités livrées.

Pour finir, la cuisinière fait part des souhaits recueillis auprès des enfants bien qu’elle ne pense pas que cela puisse être possible : des hamburgers-frites et des croque-monsieur. Outre que cela ne soit pas (du tout !) compatible avec le cahier des charges de la ville, ce sont des plats qui ne sont pas adaptés à la liaison froide : l’année dernière il y avait eu un essai de frites et cela n’avait pas été concluant : faire réchauffer des frites dans du liquide ne donne que des frites molles !

Pour les centres de loisirs et le périscolaire, outre ce qui a été dit et souvent acquiescé précédemment :
–     Les fruits et les entrées sont servis très froids, limite glacés. Sur ce point il n’est pas possible d’espérer une amélioration car les règles d’hygiène en restauration collectives obligent à conserver hors d’œuvre et fruits au frais jusqu’au moment du service, cela donne des plats plus froids que ce que l’on peut manger chez soi quand on conserve les fruits à température ambiante notamment.
–     Les pommes de terre ne sont pas bonnes, ce qui est une critique partagée par d’autres clients semble-t-il
–     Les barquettes adultes sont souvent plus sèches que les plats de 8 ou 10 pour les enfants, la raison est pour le moment inconnue
–     Les intitulés des menus sont jugés très clairs, ce qui facilite l’explication des plats aux enfants. A noter que la composition des salades et des sauces a été ajoutée entre parenthèses sous les plats.
–     Très souvent, les enfants d’élémentaire n’ont pas les deux fromages présents dans la première livraison. Le prestataire nous explique que le problème vient souvent de l’allotissement (préparation des différents éléments à livrer dans les écoles) : la ville de Montrouge étant livrée le matin, la commande est souvent prête avant que ne démarre la préparation des autres villes et quand il n’y a plus le fromage prévu pour la ville préparée en stock et qu’il y en a dans les cagettes pour Montrouge, il y a un transfert qui est opéré… Pour que les écoles aient les deux choix de fromage, il faut alors attendre la relivraison vers 10h.

Nous passons ensuite en revue les menus proposés pour les mois de mars et d’avril et opérons quelques changements :

–     Nous faisons quelques inversions entre fromage et yaourt, de manière à ce que lorsqu’il n’y a qu’un seul yaourt dans la semaine, ce ne soit pas le mercredi.
–     Nous changeons quelques accompagnements pour ne pas voir des pâtes deux jours de suite.
–     Nous renommons la salade proposée pour le repas de Pâques de « salade du ragga » (poivrons, laitue, tomates, maïs, haricots verts), nom jugé trop difficile à expliquer aux enfants, nous passons à « salade de Pâques » (pas très original mais de circonstance)
–     A noter au niveau des fromages :

  • quelques fromages AOC : Munster pour le menu « Alsace », Cantal, Fourme d’Ambert.
  • Pour les écoles en cuisine traditionnelle, lorsque le menu indiquera tomme noire, ce sera de la tomme grise qui peut être commandée à la coupe par la ville contrairement à la tomme noire qui arrive en portion sous vide, comme nous avons pu le constater lors de la visite de Renaudel.

La séance se termine en fixant la date de la prochaine commission, ce sera le mardi 13 mars. D’ici là, pour vos remarques ou questions, l’adresse des cantoches est toujours la même : lescantoches@gmail.com.

Visite de la cuisine centrale SCOLAREST

Mercredi 30 Novembre 2011

Etaient présents :

Mairie : Mme Gastaud (adjointe au maire chargée de l’enseignement), Mme Schaknies (directrice du service enseignement), un chauffeur de la mairie
Parents d’élèves : Gaëlle Hiecque pour la FCPE, Jacques Pinson pour la PEEP

 

Mercredi 30 novembre 8h30 départ de la mairie de Montrouge en minibus, direction Athis Mons et le site de production de Scolarest. 45 minutes plus tard et un détour involontaire par l’aéroport d’Orly nous arrivons sur le site de la société Scolarest en bout de piste de décollage (ou d’atterrissage… ).

Le site est flambant neuf, lorsque la ville l’avait visité précédemment le bâtiment n’était pas encore complètement terminé, c’est désormais chose faite. En entrant dans le bâtiment, une odeur de plat qui mijote parfume l’escalier (de l’avis général un bœuf bourguignon), nous apprendrons lors de la visite que cette cuisine centrale fournit en liaison chaude la prison de Fleury-Merogis, le plat de bœuf leur était destiné.

Après un café de bienvenue et la présentation des personnes qui sont en relation avec la ville de Montrouge (l’assistant technique, la responsable du service qui élabore les menus, la responsable de la cuisine et la responsable du site), la visite débute en passant par l’étage supérieur où se trouvent toute la tuyauterie de la cuisine, puis après un coup d’œil à l’extérieur pour voir les silos permettant de faire refroidir les plats, nous arrivons sur les quais de livraison des matières premières.

Cette cuisine centrale a été conçue pour respecter les principes de la marche en avant (l’aliment une fois entré dans la cuisine ne retourne jamais à l’étape précédente, à chaque étape correspond une pièce de la cuisine centrale : une pièce pour stocker les achats, une pièce pour les sortir de leur emballage, une pour les laver, une pour les préparer…à moins d’avoir 10 pièces dont 7 à consacrer à la cuisine, impossible de faire cela chez soi !). Une fois déchargé le contenu des camions est stocké directement soit au congélateur (dans lequel on trouve surtout du poisson), soit dans le réfrigérateur (légumes (entiers et quatrième gamme), fruits, fromages, œufs durs livrés écalés en seau) ou encore dans l’épicerie à température ambiante (conserves de légumes, fruits au sirop, boîtes de raviolis, épices, condiments, plateaux NATAMA, compotes, fonds de sauce (de ce type :ici)., quelques soupes en briques (comme ça)  et des pâtes…). Dans toutes les réserves la hauteur sous plafond est impressionnante, il nous est précisé que le personnel qui manœuvre les trans-palettes a une qualification particulière étant donnée la hauteur.

Poursuite de la visite par les pièces où on prépare les entrées, on entre par un réfrigérateur, une machine pour laver les légumes est au milieu de la pièce, puis on arrive dans une grande pièce où se trouve la machine à trancher les crudités (concombre, tomates…). Au fond (parallèlement à la pièce par laquelle on est entré) on voit la pièce où les légumes en conserve sont sorties des boîtes du même nom. Cette pièce sert à préparer les entrées, dans la pièce suivante, celles-ci sont mises en barquettes et pesées puis fermées hermétiquement et étiquetées (le contenu est imprimé sur le film à partir des informations saisies par la personne travaillant sur ce poste). Chose notable, dans cette pièce on voit la lumière du jour par une fenêtre (ce n’était pas le cas dans la cuisine Avenance de Fresnes, pas non plus dans celle de Chelles et cela étonne aussi les personnes de la mairie qui dans les dernières années ont visité bon nombre de cuisines).

On passe ensuite dans la salle où les plats chauds sont mis en barquettes. Au moment où nous visitons, ce sont des barquettes de poissons. Les filets de poisson sont mis en barquette par 8 et recouverts de sauces, la barquette n’est pas pesée après cette opération, les filets ayant un poids garanti pas le fournisseur.

En remontant le sens des aliments, nous arrivons dans la salle où sont préparés les plats chauds : de grandes cuves pour préparer les légumes, le long des mûrs des fours (au moins six, pas ceux des particuliers, des armoires-fours comme dans les cuisines des écoles).

Nous repassons par la salle où les plats chauds sont mis en barquette, avant d’en sortir nous passons devant la machine qui sert à refroidir les plats. En liaison froide, après cuisson les plats doivent être refroidis très rapidement pour empêcher la prolifération des bactéries.

Une fois sortis, nous arrivons dans la pièce où les repas sont répartis par ville, il y fait bien froid. Nous sommes en matinée donc sous l’écriteau « Montrouge » il n’y a que les fruits pour le lendemain qui sont dans les cagettes. Et les cagettes pour Montrouge sont loin du quai où les camions de livraison sont chargés. En effet les repas pour Montrouge sont livrés le matin même, ce qui n’est pas commun, la majorité des villes en liaison froide sont livrées la veille en fin d’après midi, et le vendredi après-midi pour le repas du lundi et stockent les repas dans leurs frigos. La ville de Montrouge a fait le choix de ne pas investir dans des frigos pour stocker les repas et de se faire livrer le matin, ce qui n’arrange pas toujours le prestataire car en cas de manque constaté à la livraison il doit réapprovisionner dans la matinée (alors que dans les autres villes il connaît le manque en fin de journée et peut s’organiser pour y pallier avant le milieu de matinée du lendemain, cela laisse donc une plus grande marge de manoeuvre… ).

Nous continuons la visite par les quais où les camions sont chargés. Sur la droite en sortant se trouve la « nettoyeuse » de cagettes. Les cagettes revenant de la livraison sont passée dans cette machine avant d’être réutilisée. L’assistant technique nous explique que les cagettes arrivées sales à Montrouge sont des cagettes qui avaient été récupérés par les « préparateurs » avant d’avoir été lavées.

Sur le quai des fruits sont préparés pour être livrés, il y a des poires et des bananes qui n’ont pas l’air gelées, alors qu’elles arrivent fréquemment dans cet état (un thermomètre planté dans une banane des dernières livraisons affichait -0,8°C d’après ce qui a été mentionné lors de la dernière commission des menus).

Après une petite heure de visite, nous ôtons nos blouses, surchausses, charlottes et masques, quittons la cuisine et retournons vers Montrouge.

Commission des menus du 21 Novembre 2011

Menus étudiés pour la période du 1er Janvier au 24 Février 2012

Etaient présents :

Mairie : Mme Gastaud (adjointe au maire chargée de l’enseignement), Mme Favra (adjointe au maire chargée de la petite enfance), une partie de l’équipe du service enseignement
Directeurs d’école : Maternelle Marcelin Berthelot, Elémentaire Briand
Représentants du périscolaire : Elémentaire Briand, Maternelle Rabelais
Cuisiniers : Groupe scolaire Boileau
Parents d’élèves : Gaëlle Hiecque pour la FCPE, Jacques Pinson pour la PEEP

Scolarest : 3 personnes : l’assistant technique en charge de la relation avec la ville de Montrouge, une diététicienne travaillant sur le site de production et une personne du service administratif.

 

18h, après un rapide tour de table, la séance débute par le bilan de la période écoulée.

Le cuisinier explique que bien que cela se soit amélioré depuis la dernière commission, il y a souvent des livraisons incomplètes et tardives, ce qui complique la tâche du personnel de cuisine et occasionne beaucoup de stress. Des problèmes de grammages sont également constatés particulièrement sur les légumes, ce qui explique que les enfants se plaignent d’avoir très peu de légumes dans leur assiette. Autre problème logistique : les barquettes avec et sans porc sont difficiles à différencier, seule l’étiquette permet d’identifier leur contenu (alors que le cahier des charges stipule qu’elles doivent être de couleurs différentes). Par ailleurs, le cahier des charges indique également que pour les écoles maternelles les repas doivent être livrés dans des barquettes de 8 parts ce qui permet de les insérer dans les porte-barquettes afin d’éviter de se brûler pendant le service. Les repas arrivent fréquemment répartis dans des barquettes, de 15, 8, 6 parts ou en portion individuelle, le service est plus difficile : les barquettes doivent circuler parfois entre plusieurs tables sans être protégées par les portes-barquettes, la mairie signale qu’il y a déjà eu des brûlures pendant le service.

Autres problèmes constatés :

  • sur la dernière période les repas livrés ont une DLC très courte, contrairement à ce qui était livré au mois de septembre et aux exigences du cahier des charges
  • les fruits arrivent très froids et particulièrement les bananes qui sont complètement gelées et souvent immangeables par les enfants
  • la livraison des accompagnements (nécessaire pour faire la vinaigrette, sucre pour les laitages…) est très aléatoire, ce qui complique le service et les livraisons.
  • Les cagettes utilisées lors des livraisons sont souvent très sales, et pas salies avec les aliments contenus dans la livraison.

Néanmoins, quelques points positifs :

  • Les plats sont gustativement meilleurs, les sauces sont bonnes.
  • Les chauffeurs sont particulièrement appréciés par le personnel de la ville Des éléments de traçabilité sont désormais fournis ce qui n’était pas le cas lors de la précédente période.

Les directrices d’école confirment que les repas servis sont meilleurs que l’an passé et déplorent les faibles portions de légumes. A Briand, il n’y a toujours pas de choix entre les entrées (problème de «paramétrage » informatique qui devrait être rapidement résolu… comme il se doit pour tout problème de paramétrage informatique… ).

Les soupes sont très appréciées des enfants, de même que les carottes et les betteraves crues râpées. En revanche, les cœurs de palmiers n’ont pas été aimés par les enfants, ni les poireaux. Du beurre ou du citron serait apprécié en accompagnement des sardines.

Les représentants du périscolaire regrettent des plats trop simples et une semaine du goût basée sur les couleurs plus que sur la découverte de plats nouveaux.  Ils déplorent aussi des repas à thème aves des plats peu « marqués » : ce n’est qu’a posteriori qu’ils réalisent que c’était un repas à thème. Comme désormais il n’y a plus de « rab », les portions sont un peu justes pour les plus grands (CM1, 2).

La Moussaka du vendredi 18 novembre n’a pas du tout été appréciée, elle n’avait pas un bel aspect, on voyait qu’elle n’était pas maison.

Les parents indiquent qu’ils ont également reçu des retours négatifs sur la moussaka, mais aussi un retour très positif. Ils remontent aussi les questions des parents concernant les jours où le menu indique fruit bio et fruit : quelle proportion de fruits bio est proposée aux enfants ? les enfants savent-ils quel fruit est bio ?

Suite à ce questionnement, la commission décide que lorsque des fruits bio seront proposés, il n’y aura qu’un choix, le prestataire ne pouvant pas fournir deux fruits bio pour une même journée.

Autre question des parents : la composition des fonds de sauce. La « fiche technique » sera fournie suite à la réunion.

Nous étudions ensuite les menus proposés pour la période de janvier et février 2012 et comme d’habitude, la directrice de la maternelle choisit ce qui sera proposé aux enfants de maternelle entre les deux choix du menu.

Quelques changements par rapport aux menus proposés :

  • Les brocolis vinaigrette n’étant pas mangés (contrairement aux brocolis chauds), ils seront remplacés  par de la macédoine (le 2 janvier) – aliment pas forcément adoré, mais en janvier si on veut éviter la redondance avec les carottes râpées du jeudi, le choux et respecter la saisonnalité… le choix est limité !
  • La galette des rois proposée aux enfants le 5 janvier sera à la frangipane, le prestataire fournira des galettes à la pomme pour les enfants allergiques aux fruits à coques – à noter que les années précédentes, la municipalité achetait des galettes sèches pour les enfants allergiques (même pour les écoles en liaison froide) car le prestataire ne proposait pas d’alternative à la galette à la frangipane.
  • Concernant les repas spéciaux, le vendredi 13 janvier était prévu un repas du terroir « la Savoie » avec de la tartiflette et du tourteau fromager (qui est une spécialité charentaise…). Cela sera donc finalement un repas du terroir sans précision (donc sans erreur).
    Jeudi 26 janvier, le menu proposé indiquait un repas d’ailleurs « la Norvège » avec en dessert une tarte aux pommes qui n’est pas spécialement norvégienne… La difficulté à trouver un dessert norvégien et que le prestataire pourrait livrer a donc conduit à rebaptiser ce repas «repas d’ailleurs» (tout court).
    Cela étant dit, cette année le dialogue avec le prestataire est possible et il accepte de faire des changements ou des propositions alternatives pour satisfaire les désirs de la commission : le 16 février est prévu un repas d’ailleurs espagnol, le dessert proposé était une orange ( qui peut tout à fait être espagnole mais qui était aussi le dessert du repas Maghreb du jour de la commission, mais bon une orange peut aussi être marocaine), une proposition de nouveau dessert devrait être faite à la ville. Mardi 21 février, le retour de la Moussaka était programmé, mais sur notre demande, le prestataire accepte de livrer ce jour-là des lasagnes de saumon (qui ne sauront pas « maison », mais la moussaka ne l’aurait pas été non plus).
  • Nous n’avons en revanche pas changé les laitages blancs et les fruits proposés dans les menus même si aux yeux de certains représentants du périscolaire cela constitue un « double peine » pour les enfants lorsque les deux sont proposés le même jour… ce qui est souvent le cas (et c’est voulu ! ) –  pour info deux liens la composition d’un laitage blanc bio qui est servi aux enfants avec du sucre (emballage individuel de 5g): ici et celle d’un laitage aux fruits : ici.

Quelques éléments d’informations sur les repas servis aux enfants allergiques (pour lesquels un PAI a été signé avec la famille) :

  • Lorsque l’enfant est allergique à un aliment ou une catégorie (poisson, fruits à coque…), le prestataire fournit un plat de substitution : une portion d’un plat à base de viande (en remplacement du poisson), de la galette aux pommes (au lieu de la frangipane)
  • Lorsque l’enfant est poly allergique ou allergique à des aliments difficilement évitables, le déjeuner proposé est un plateau NATAMA qui apporte une garantie de l’absence des aliments allergènes (http://www.natama.net/). Ces plateaux sont proposés dans les écoles en liaison froide et les écoles ayant encore une cuisine traditionnelle.

En fin de séance, nous fixons la date de la prochaine commission : mardi 17 janvier à 18h, de la visite de la cuisine centrale (déjà annulée deux fois pour des problèmes d’emplois du temps des différents participants) : mercredi 30 novembre et les premières visites de cantine : Rabelais – Queneau le 5 décembre et Berthelot le 9 décembre. D’ici là, pour vos remarques ou questions, l’adresse des cantoches est toujours la même :lescantoches@gmail.com.

Commission des menus du 3 Octobre 2011

Menus étudiés pour la période du 1er Novembre au 31 Décembre 2011

Etaient présents :

Mairie : Mme Gastaud (adjointe au maire chargée de l’enseignement), Mme Favra (adjointe au maire chargée de la petite enfance), une partie de l’équipe du service enseignement
Directeurs d’école : Maternelle Maurice Arnoux, Elémentaire Queneau
Cuisiniers : Maternelle Maurice Arnoux

Parents d’élèves : Gaëlle Hiecque pour la FCPE, Isabelle Berta-Vanrullen pour la PEEP
Scolarest : 2 personnes : une diététicienne travaillant sur le site de production et un chargé du développement commercial.

18h la séance débute après un tour de table par une présentation de la société Scolarest, société choisie par la ville pour les repas servis en restauration scolaire et pour une partie des jardins d’enfants pour cette année. Le siège de la société Scolarest se situe à Châtillon, elle fait partie du groupe Compas (qui a aussi une filiale pour la restauration collective autre que scolaire : EUREST, et une filiale pour le domaine médical : Medirest)  qui est le troisième groupe sur le marché de la restauration collective (derrière Avenance et Sodexho).

La cuisine qui fournit les repas pour Montrouge est située à Athis Mons dans l’Essonne (15 Km de Montrouge).

Cette cuisine a débuté la production fin août 2011, tout n’est pas encore opérationnel. Le site d’Athis Mons est composé de deux cuisines : une qui a déjà de nombreuses années et qui est vouée à disparaître et la nouvelle cuisine qui produira à terme l’intégralité des repas du site. Aujourd’hui 38 000 repas sont préparés sur le site d’Athis Mons chaque jour : ce sont des repas pour des scolaires mais aussi pour des pénitenciers (Fleury Merogis, Poissy, Melun…), on nous précise gentiment que ces derniers types de repas ne seront pas les premiers à passer vers la nouvelle cuisine…

Cette nouvelle cuisine est définie par le société comme « une solution innovante » car elle permet de travailler beaucoup de produits bruts (les légumes « terreux » sont épluchés dans la cuisine centrale) et permet une traçabilité automatique (alors que dans beaucoup de cuisine tout est fait par relevé manuel par le personnel) des aliments entrant dans la composition de chaque barquette et du process de production (suivi de la chaine du froid, des températures de cuisson puis de refroidissement) : pour les consommateurs c’est censé augmenter la « sécurité » des plats servis, pour la société cela permet d’obtenir plein de certifications ISOquelquechose et d’améliorer la productivité.

Les barquettes utilisées sont en polypropylène homopolymère. Elles sont recyclables. Le fournisseur des barquettes propose de mettre en place un circuit de recyclage de ces barquettes après usage. Après étude la mairie n’a pas souhaité mettre en place ce circuit, il faut dire (et le prestataire le reconnaît aussi) que c’est extrêmement contraignant et coûteux pour le client : en effet, pour que la barquette puisse être recyclée elle doit être parfaitement nettoyée (avec du produit pour que ce soit désinfecté), toutes les étiquettes et résidus de film doivent être enlevés et le tout doit être stocké jusqu’au lendemain.Problème : Sachant que les repas pour enfants arrivent conditionnés en barquettes de 8 parts pour la maternelle de 20 parts pour l’élémentaire et en individuel pour les adultes, qu’il faut une barquette pour l’entrée, une pour la viande et une pour les légumes et que la ville reçoit en moyenne 1400 repas pour les maternelles par jour, 1250 pour les élémentaires et 350 repas adultes, combien faudrait-il recruter de personnes pour pouvoir espérer recycler les barquettes de la ville ? Question subsidiaire : sachant que pour nettoyer toutes ces barquettes avec un produit désinfectant qui passera dans les eaux usées, l’impact environnemental sera-t-il finalement positif ?

Au niveau de l’approvisionnement en produits frais, le prestataire privilégie (dans l’ordre) un approvisionnement local puis régional puis national. Les produits (fruits et légumes) de saison viennent principalement de producteurs d’Ile de France. Les fruits et légumes sont de catégorie extra ou 1 (une présentation rapide de la signification fait dire que extra = excellent et cat I = quasiment sans défaut, si on creuse un peu, on voit que les critères objectifs de classification sont essentiellement basés sur le calibre de fruits :http://www.fruits-et-legumes.net/veille_reglementaire/documents/dpnor11.htm – ce n’est pas une spécificité de la restauration collective, tous les affichages de fruits et légumes font référence à ces catégories)

Cette commission se tenait au lendemain de la publication du décret sur la restauration scolaire qui a pour objectif d’obliger les cantines scolaires à servir des repas variés et équilibrés à leurs jeunes convives et à limiter l’accès aux sauces et au sel dans les lieux de restauration. Les exigences posées dans le décret sont déjà en application dans les cantines de la ville depuis plusieurs années : ketchup et mayonnaise ne sont pas en libre service, le sel non plus. Quant aux quantités, elles étaient déjà limitées les années précédentes en liaison froide, même si cela rend nostalgiques les amateurs de « rab »… La teneur en sel des plats livrés est aussi limitée, ce qui peut expliquer que certains plats semblent fades aux enfants habitués à manger très (trop) salé.

Deux digressions faites en séance par le prestataire sur les exigences du décret :
–         on peut se « déshabituer » du sel, les repas semblent fades au début mais après quelque temps cette sensation disparaît
–         les collectivités locales ont majoritairement anticipé ce décret d’application qui était en préparation depuis plusieurs mois, en revanche ce n’est pas le cas des écoles privées.

La présentation terminée, nous passons au bilan de la période écoulée. Ce qui domine dans toutes les interventions (représentants du périscolaire, des directeurs d’école, des cuisiniers et les parents) ce sont les problèmes de livraison. Berthelot en a relevé 12 sur le mois de septembre (qui a 22 jours ouvrés) et la situation est similaire dans toutes les écoles : il ne s’est pas passé une journée sans qu’il ne manque dans une école soit des entrées, soit des desserts, soit du plat principal. Conséquence principale pour les écoles en self : les derniers ont souvent eu du pâté et certains jours plutôt deux fois qu’une. Autre événement marquant pour les élèves de Rabelais et pour les encadrants de la cantine : le repas du vendredi 30 septembre. Comme il manquait de la viande et que le réapprovisionnement est arrivé très tardivement les derniers servis ont eu de la pizza au lieu du rôti de veau, ce qui a dû apparaître très injuste aux élèves passés en début de service (bien que la pizza servie n’ait pas été appréciée par ceux qui en ont eu car elle était froide voire encore en partie congelée).

Autres problèmes logistiques constatés :

  • les beignets qui étaient prévus le 30 septembre n’ont pas tous pu être servis : aucune date limite de consommation n’était indiquée sur certains contenants la mairie a donné la consigne de ne pas servir les beignets sans DLC par précaution, les enfants des écoles concernées ont donc eu le dessert « de secours » issu des « stocks tampons » : des compotes.
  • Les adultes de plusieurs écoles élémentaires (en self) ont été privés de choix dans les repas (qui arrivent conditionnés différemment de ceux de enfants (pas la même quantité) pour un problème de « paramétrage » informatique.
  • Le fromage livré pour être coupé en cuisine n’est pas toujours simple à partager équitablement

Les repas doivent normalement être prêts à 11h, ils ne le sont souvent pas. En conséquence le personnel de cuisine est souvent obligé de « sauter » le repas du midi et commence à être épuisé par ces retards de livraison.

Sur le contenu de l’assiette, les adultes mangeant à la cantine indiquent que les plats servis sont « plus gustatifs » que l’an passé, la viande en particulier. Certains plats partagent néanmoins les personnes présentes :
– la moussaka semble avoir été appréciée des élémentaires, moins des maternelles
– la viande hachée n’a pas été appréciée à Berthelot, mais ailleurs pas de remontées négatives (sachant qu’il s’agit de viande hachée servies en restauration collective, elle est forcément très cuite avant d’être refroidie puis réchauffée donc qu’elle paraisse sèche est logique)
– l’omelette (qui est à comparer à une omelette de restauration collective – à base de coulis d’œufs – pas à une omelette qu’on fait à la maison en cassant des œufs)
– le taboulé : la sauce ne plaît pas à certains, d’autres pourtant le plébiscite

Cela rejoint les avis mitigés reçus des témoignages d’enfants sur le repas du 26 septembre : taboulé plutôt apprécié, sauf parfois la sauce, salade de pommes de terre jugée fade, poisson trouvé plutôt bon (quoique sec, surtout à Briand), carottes trouvées « bizarres » avec un « drôle de goût », fromage plutôt apprécié par ceux qui aiment le fromage, fruit abîmé (orange) ou dur (poire « bio »).

En revanche, tout le monde a été d’accord sur la purée qui n’a pas plu surtout pour sa texture : trop liquide ou trop compacte selon la barquette – Le mystère de la consistance de la purée reste à percer par le prestataire : la taille de la barquette n’expliquant pas le phénomène constaté. Il nous assure néanmoins que la prochaine fois la purée sera différente pour l’une ou l’autre des raisons suivantes : la cuisine va changer de marque de « flocons » pour la purée, de plus, prochainement elle sera en mesure de faire de la purée « maison » à base de « vraies » pommes de terre.

Un autre point remonté par tout le monde : le peu de variété des fruits servis (principalement poires, pommes et oranges alors que la saison permet de servir encore d’autres fruits) et leur mauvais état : soit ils sont abîmés, soit ils ne sont pas assez mûrs donc pas mangés…

Nous passons ensuite à l’étude des planches menus pour les mois de novembre et de décembre. Peu de changements demandés car elles avaient déjà été retravaillées avec les services municipaux : quelques remplacements de crudités « hors saison » par des potages, la salade brésilienne du jeudi 8 décembre sera sans surimi (aliment interdit dans les cantines montrougiennes), maintien de la salade de vampire du jeudi 3 novembre (tomate, choux fleur et sauce cocktail – joli nom pour désigner un mélange de mayonnaise et de ketchup) car c’est le repas d’Halloween.

Sur les menus, le premier choix est celui qui sera servi aux maternelles. Les élémentaires en liaison froide (et donc en self) ont pour l’entrée, le laitage et de dessert un choix dirigé, c’est à dire un choix entre deux éléments de même qualité nutritionnelle : deux crudités vinaigrette, deux compotes, deux fromages de teneur similaire en calcium… Quelques exceptions tout de même :
–         lorsque l’entrée est constituée de crudités « bio », il n’y a pas d’autre choix qui ne serait pas bio
–         lorsqu’il y a un repas à thème
–         lorsqu’il y a une pâtisserie en dessert il n’y a pas toujours de double choix

A l’inverse dans certains cas il y a une possibilité de choix en maternelle : lorsqu’il y a des desserts à base de chocolat, il y a un choix alternatif pour les quelques enfants qui n’aiment pas le chocolat (si, si ça existe !).

Le menu proposé pour le repas de Noël n’est pas encore connu. La réunion se termine sur un débat sur les repas proposés pour la semaine du goût (du 17 au 21 Octobre) : la proposition du prestataire est une semaine sur le thème de la couleur (blanc le lundi, verte le mardi, rouge le mercredi, orange le jeudi et jaune le vendredi), le souci étant que cela ne présente pas d’éléments sortant de l’ordinaire ou particulièrement goûteux, une proposition alternative pourrait être une semaine de repas régionaux, ce qui peut être plus intéressant pour les plus grands mais ne pas être particulièrement intéressant pour les maternelles. La logistique (décidément !) va trancher pour nous : les menus des cuisines traditionnelles étant calqués sur ceux de la liaison froide, les commandes ont déjà été passées : ce sera donc une semaine du goût sur le thème des couleurs !

La visite de la cuisine centrale d’Ahis Mons est fixée au mercredi 2 novembre, les visites des cantines débuteront mi novembre.

Quelques autres informations sur la cantine :

– dans les école maternelles, tous les jeudis c’est l’animation « herbes et épices », l’idée est de faire découvrir aux enfants qu’on peut donner du goût à son repas sans ajouter du sel en mettant du persil, de l’ail… la diététicienne de la ville est présente dans deux écoles maternelles de la ville ce midi là (deux écoles proches l’une de l’autre), dans les autres écoles, les animateurs proposent également les herbes aux enfants. Les jeudis où il y a un repas à thème, ces animations n’ont pas lieu.
– aux mois de mai et juin dernier, un changement de pain est testé dans l’école maternelle Marcelin Berthelot : la baguette blanche est remplacée par une baquette T80 (la farine T80 est à mi-chemin entre la farine blanche très raffinée et la farine complète, elle présente l’avantage de présenter plus de fibres que la farine blanche). Ce nouveau pain est servi depuis la rentrée tous les jours sauf le lundi. Comme il est bien accepté par les enfants, la mairie cherche à étendre ce changement aux autres écoles. Le changement de pain est une demande des parents depuis plusieurs années.

Egalité d’accès à la restauration scolaire

Le lundi 12 Septembre, la FCPE a fait paraître un communiqué de presse appelant à refuser les inégalités d’accès à la restauration scolaire et incitant les parlementaires à légiférer sur le sujet.

Ce communiqué de presse fait suite à plusieurs jugements déclarant illégales les décisions des municipalités visant à réserver l’accès à la restauration scolaire aux enfants dans les deux parents exercent une activité professionnelle. (références des jugements en pièces jointes)

Le sujet avait été également évoqué dans la presse la semaine précédente, notamment dans le parisien qui faisait un état des lieux des critères d’accès à la cantine dans les différentes villes du département (http://www.leparisien.fr/bagneux-92220/qui-a-le-droit-de-manger-a-la-cantine-02-09-2011-1588897.php).

Dans cet article, vous pourrez lire que Montrouge figure parmi les villes qui posent des conditions à l’accès à la restauration scolaire, ce qui figure aussi sur le site de la ville (http://www.ville-montrouge.fr/enfance-jeunesse/restauration-scolaire/jinscris-mon-enfant-a-la-restauration-scolaire/). La FCPE Montrouge demande qu’à l’instar d’autres villes du département (comme notamment Antony, Saint-Cloud et Sceaux) la restauration scolaire de notre ville puisse accueillir à tous les enfants.

Quelques articles sur le sujet :

http://www.leparisien.fr/antony-92160/cantines-a-chaque-ville-ses-criteres-d-inscription-02-09-2011-1588898.php
http://www.leparisien.fr/bordeaux-33000/enfants-de-chomeurs-prives-de-cantine-la-fcpe-menace-de-saisir-la-justice-12-07-2011-1530274.php
http://www.leparisien.fr/yvelines-78/les-enfants-de-chomeurs-prives-de-cantine-27-06-2011-1509524.php
http://www.20minutes.fr/article/654352/bordeaux-pas-travail-cantine
http://www.liberation.fr/societe/01012359394-la-cantine-un-service-vraiment-public
http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/09/12/la-fcpe-lance-un-appel-contre-les-refus-d-acces-aux-cantines-scolaires_1571299_3224.html
http://www.humanite.fr/societe/enfant-de-chomeur-la-cantine-n’est-pas-pour-toi-478690
Communiqué de presse FCPE : CommuniqueFCPE-12092011
Décision commune Oullins : décision du conseil d’état – commune d’Oullins
Décision Tribunal Administratif de Versailles : TA Versailles 1993